C'est le titre du dernier film d'une personne que j'admire, pour ses rôles au cinéma comme au théâtre: Michel Piccoli. C'est son troisième film en tant que réalisateur. C'est montré à Cannes, en sélection officielle, hors compétition. Et ça sortira en novembre.
En plus, Piccoli a fait à nouveau confiance à Roger Jendly et Michele Gleizer, deux comédien(-ienne)s suisses. Cherchez pas, allocine.com et ses confrères ne les signalent que comme "acteur/actrice", point barre. Mais c'est des comédiens magnifiques, d'abord de théâtre. (Ah ! les rôles splendides que Benno Besson a offert à Jendly…). On les entend à l'instant sur La Première de la radio romande (vous pouvez les réécouter là).
J'allais oublier: en plus encore, c'est Arno qui en a fait la musique.
Le printemps prend parfois des allures de seigneur. Alors qu'aux premiers rayons, l'éclat des Alpes de Savoie rebondit sur un lac huileux, l'arrière-pays tempère sa verdure de sourires solaires.
Il y a deux genres de familles. Celles où, quand un enfant lit, on lui dit: «Tu n'as rien d'autre à faire ?», et celles où, quand un enfant ne lit pas, on lui dit: «Tu n'as rien à lire ?»
Une éducation réussie ? Passer du temps à rire avec ses enfants.
Remiremont sous la pluie, Epinal sous la flotte, le Ballon d'Alsace dans le brouillard, ce fut notre sortie de l'Ascension. On essaiera de faire mieux la prochaine fois…
Une petite récréation, un changement d'air, histoire de voir un coin qu'on ne connaît pas encore. Tout le monde va dans le sud, alors nous on monte. Donc trois jours dans les Vosges.